Un deuxième échange tendu fin février

Un échange tendu. © Philippe Wojazer/AP/SIPA (publiée le 26/10/2022)
Une deuxième conversation téléphonique avec Emmanuel Macron est rapportée le 29 février 2020. Agnès Buzyn est déjà partie pour les municipales à Paris, mais regrette ouvertement que le gouvernement "perd[e] du temps sur l'épidémie" face à la "berezina" à venir. Elle réclame une "task force dédiée", une préparation des hôpitaux et de l'opinion. "Je continue de vous demander de tout arrêter, comme en Italie, le plus vite possible", aurait-elle alors demandé au chef de l'Etat. Selon Le Monde encore, Emmanuel Macron aurait depuis reconnu en privé qu'"on aurait dû écouter Agnès".
Une deuxième conversation téléphonique avec Emmanuel Macron est rapportée le 29 février 2020. Agnès Buzyn est déjà partie pour les municipales à Paris, mais regrette ouvertement que le gouvernement "perd[e] du temps sur l'épidémie" face à la "berezina" à venir. Elle réclame une "task force dédiée", une préparation des hôpitaux et de l'opinion. "Je continue de vous demander de tout arrêter, comme en Italie, le plus vite possible", aurait-elle alors demandé au chef de l'Etat. Selon Le Monde encore, Emmanuel Macron aurait depuis reconnu en privé qu'"on aurait dû écouter Agnès".
© Philippe Wojazer/AP/SIPA (publiée le 26/10/2022)