Le "tronc" de la Marne était-il celui de Bernard Hettier ?

L'un des logements de Simone Weber, rue de Cronstadt à Nancy © MARCEL MOCHET / AFP
Le 15 septembre 1985, un pêcheur parcourt la Marne en barque à Poincy, près de Meaux (Seine-et-Marne). Il découvre, flottant sur la rivière, une valise lestée par des parpaings. Sur la rive, les gendarmes ouvrent le bagage : à l’intérieur, un tronc humain est dissimulé dans des sacs poubelle. Le lien est établi avec la disparition de Bernard Hettier : le squelette est comparé avec des radios prises lors de soins de routine, avant sa disparition. Pour les experts, les anomalies présentes au niveau osseux sont probantes. Mais en 1985, aucun test ADN ne permet de certifier que le cadavre est bien celui du quinquagénaire. D’autant que le tronc porte les marques d’une opération de l’appendicite. Opération que Bernard Hettier n’a jamais subie selon les avocats de Simone Weber.
Le 15 septembre 1985, un pêcheur parcourt la Marne en barque à Poincy, près de Meaux (Seine-et-Marne). Il découvre, flottant sur la rivière, une valise lestée par des parpaings. Sur la rive, les gendarmes ouvrent le bagage : à l’intérieur, un tronc humain est dissimulé dans des sacs poubelle. Le lien est établi avec la disparition de Bernard Hettier : le squelette est comparé avec des radios prises lors de soins de routine, avant sa disparition. Pour les experts, les anomalies présentes au niveau osseux sont probantes. Mais en 1985, aucun test ADN ne permet de certifier que le cadavre est bien celui du quinquagénaire. D’autant que le tronc porte les marques d’une opération de l’appendicite. Opération que Bernard Hettier n’a jamais subie selon les avocats de Simone Weber.
© MARCEL MOCHET / AFP