Vivre dans une caserne

©  INTERCONTINENTALE / AFP
Faire son service national, c'était passer le plus clair de son temps entre les murs d'une caserne et intégrer une chambrée. "Avec les copains", on y repasse son treillis de défilé en suivant scrupuleusement les consignes du sergent, on écrit ses lettres aux proches (courrier qu'on remettra au vaguemestre), on se repose ou on improvise des soirées potaches et des parties de pelote basque endiablées pour tuer le temps. La vie de chambrée, c'est aussi la voix du gradé à l'aube qui hurle "REVEIIIIL" tout en allumant la lumière sans faire de sentiments, peut-être le pire moment de la journée pour certains. Enfin, des revues en tous genre rythment la vie de la caserne (de paquetage, régimentaire, de casernement…). 
Faire son service national, c'était passer le plus clair de son temps entre les murs d'une caserne et intégrer une chambrée. "Avec les copains", on y repasse son treillis de défilé en suivant scrupuleusement les consignes du sergent, on écrit ses lettres aux proches (courrier qu'on remettra au vaguemestre), on se repose ou on improvise des soirées potaches et des parties de pelote basque endiablées pour tuer le temps. La vie de chambrée, c'est aussi la voix du gradé à l'aube qui hurle "REVEIIIIL" tout en allumant la lumière sans faire de sentiments, peut-être le pire moment de la journée pour certains. Enfin, des revues en tous genre rythment la vie de la caserne (de paquetage, régimentaire, de casernement…). 
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