Elle passe son bac de français en ayant appris cette langue cette année

Diana Patricia, Indonésienne de 17 ans, ne parlait pas un mot de français il y a un an. © Capture Facebook AFS Vivre sans frontiere
Accueillis par AVS Vivre Sans Frontière, association agréée par le ministère de l'Education, et via des familles bénévoles, certains lycéens étrangers passent leur bac en France à l'issue d'une année d'immersion. A l'instar de Diana Patricia, Indonésienne de 17 ans candidate aux épreuves du bac de français 2018, qui témoigne sur Europe 1/Le JDD : "À mon arrivée, je ne parlais pas un mot de français, préparer le bac semblait très compliqué. En Indonésie, l'examen ne comporte que des épreuves écrites : des QCM (...). Ici, il faut écrire des phrases, rédiger des rédactions… et passer un oral. Heureusement, j'aime beaucoup 'Au bonheur des dames', le livre de Zola que je présente au bac français. Chez nous, le diplôme équivalent revêt moins d'importance. Ce qui compte, c'est surtout de réussir les concours qui ouvrent les portes des universités les plus prestigieuses."
Accueillis par AVS Vivre Sans Frontière, association agréée par le ministère de l'Education, et via des familles bénévoles, certains lycéens étrangers passent leur bac en France à l'issue d'une année d'immersion. A l'instar de Diana Patricia, Indonésienne de 17 ans candidate aux épreuves du bac de français 2018, qui témoigne sur Europe 1/Le JDD : "À mon arrivée, je ne parlais pas un mot de français, préparer le bac semblait très compliqué. En Indonésie, l'examen ne comporte que des épreuves écrites : des QCM (...). Ici, il faut écrire des phrases, rédiger des rédactions… et passer un oral. Heureusement, j'aime beaucoup 'Au bonheur des dames', le livre de Zola que je présente au bac français. Chez nous, le diplôme équivalent revêt moins d'importance. Ce qui compte, c'est surtout de réussir les concours qui ouvrent les portes des universités les plus prestigieuses."
© Capture Facebook AFS Vivre sans frontiere