Dérives de la naturopathie : vers une légifération pour protéger les patients ?

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Pour Alexandra Attalauziti, la présidente du Syndicat des professionnels de la naturopathie (SPN), qui s'est exprimée sur le sujet le 17 janvier, la profession de naturopathe n'est pas à mettre en cause, pour ce qui est des dérives constatées. "Depuis 2017, nous demandons au gouvernement d'organiser nos métiers. Malheureusement, rien n'est fait. Ni le ministère de la Santé, ni celui du Travail ne légifèrent sur le dossier." Pour la représentante, un meilleur encadrement ou encore une obligation de formation… constitueraient le minimum pour que les patients ne soient pas "mis en danger". Quid d'une interdiction ? "C'est oublier qu'il y a des usagers très demandeurs. La question n'est pas de les priver, mais de les protéger !" insiste-t-elle sur ce point. 

Pour Alexandra Attalauziti, la présidente du Syndicat des professionnels de la naturopathie (SPN), qui s'est exprimée sur le sujet le 17 janvier, la profession de naturopathe n'est pas à mettre en cause, pour ce qui est des dérives constatées. "Depuis 2017, nous demandons au gouvernement d'organiser nos métiers. Malheureusement, rien n'est fait. Ni le ministère de la Santé, ni celui du Travail ne légifèrent sur le dossier." Pour la représentante, un meilleur encadrement ou encore une obligation de formation… constitueraient le minimum pour que les patients ne soient pas "mis en danger". Quid d'une interdiction ? "C'est oublier qu'il y a des usagers très demandeurs. La question n'est pas de les priver, mais de les protéger !" insiste-t-elle sur ce point. 
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