Des radars de chantier en pagaille

Les radars de chantier, devenus radars autonomes, affichent des résultats impressionnants. © LODI FRANCK/SIPA
C'est la nouvelle terreur ! Les radars de chantier affichent des résultats parfois ahurissants après leurs installations. Facilement déplaçables, ils devaient être installés dans des zones de travaux pour protéger les ouvriers. On aura noté depuis le changement de nom : de radar de chantier à radar autonome. Ils peuvent en fait être installés sur des axes jugés dangereux ou sur des portions à risques (tunnel, routes sinueuses…) et flasher à toute heure. Les zones leurres ont également fait leur apparition avec plusieurs itinéraires où le radar pourra être déplacé régulièrement sur le parcours choisi (les conducteurs sont prévenus à l'approche de la zone par un panneau). 250 seront déjà en service à la fin de l'année 2016… et on en prévoit en tout 400 en fonctionnement fin 2017.
C'est la nouvelle terreur ! Les radars de chantier affichent des résultats parfois ahurissants après leurs installations. Facilement déplaçables, ils devaient être installés dans des zones de travaux pour protéger les ouvriers. On aura noté depuis le changement de nom : de radar de chantier à radar autonome. Ils peuvent en fait être installés sur des axes jugés dangereux ou sur des portions à risques (tunnel, routes sinueuses…) et flasher à toute heure. Les zones leurres ont également fait leur apparition avec plusieurs itinéraires où le radar pourra être déplacé régulièrement sur le parcours choisi (les conducteurs sont prévenus à l'approche de la zone par un panneau). 250 seront déjà en service à la fin de l'année 2016… et on en prévoit en tout 400 en fonctionnement fin 2017.
© LODI FRANCK/SIPA