Qu'est-ce qu'un arrêt de longue durée ?

Soleil, humidité... Les véhicules n'aiment pas trop les aléas liés à la météo. © Andrii/Adobe Stock

Avant de commencer, il est bon de rappeler quelques fondamentaux. Un arrêt d'une à deux semaines n'est pas un arrêt de longue durée. On commence à parler d'immobilisation de longue durée lorsque le véhicule est arrêté un ou deux mois au minimum. C'est à partir de ces durées que l'état de votre véhicule peut se détériorer, notamment à cause de la météo. Les véhicules sont en effet particulièrement sensibles aux rayons du soleil ou encore à l'humidité. Le risque, c'est clairement de ne pas pouvoir redémarrer après un long arrêt, voire de retrouver votre voiture abîmée par les affres du temps.

Avant de commencer, il est bon de rappeler quelques fondamentaux. Un arrêt d'une à deux semaines n'est pas un arrêt de longue durée. On commence à parler d'immobilisation de longue durée lorsque le véhicule est arrêté un ou deux mois au minimum. C'est à partir de ces durées que l'état de votre véhicule peut se détériorer, notamment à cause de la météo. Les véhicules sont en effet particulièrement sensibles aux rayons du soleil ou encore à l'humidité. Le risque, c'est clairement de ne pas pouvoir redémarrer après un long arrêt, voire de retrouver votre voiture abîmée par les affres du temps.
© Andrii/Adobe Stock