Franck Dubosc s'attire la colère des Marocains

Virginie Hock et Franck Dubosc en conférence de presse pour la 2ème édition du Festival du Rire à Marrakech © BOYER ETIENNE/SIPA
L'empressement est au rendez-vous pour la sortie de Camping 3 en 2016, plus de six ans après le deuxième volet. Mais le public du Marrakech du rire, où était présenté le film en avant-première, n'ont pas vraiment apprécié ce troisième volet. "C'est difficile en fait ici [au Maroc] parce qu'on se rend compte que culturellement il y a dix siècles de retard, réagissait-il dans une interview accordée à Téléstar. Les femmes voilées, les enfants sortaient de la salle. Ben oui… Il y a une séquence de nudistes sur la plage… Le film est interdit aux moins de 16 ans. [...] Certains sortaient, ils bouchaient les yeux des enfants quand on voyait mon maillot de bain…" Des propos qui ont rapidement fait polémique et pour lesquels il a été obligé de s'excuser quelques jours plus tard : "Je n'en pense pas un mot bien sûr, ils sont les dires d'un homme blessé et déçu qui voit son nouveau bébé interdit aux enfants dans un pays qui m'a si souvent accueilli. Vous n'avez pas un retard culturel comme je l'ai bêtement dit, nous sommes différents, c'est tout…"
L'empressement est au rendez-vous pour la sortie de Camping 3 en 2016, plus de six ans après le deuxième volet. Mais le public du Marrakech du rire, où était présenté le film en avant-première, n'ont pas vraiment apprécié ce troisième volet. "C'est difficile en fait ici [au Maroc] parce qu'on se rend compte que culturellement il y a dix siècles de retard, réagissait-il dans une interview accordée à Téléstar. Les femmes voilées, les enfants sortaient de la salle. Ben oui… Il y a une séquence de nudistes sur la plage… Le film est interdit aux moins de 16 ans. [...] Certains sortaient, ils bouchaient les yeux des enfants quand on voyait mon maillot de bain…" Des propos qui ont rapidement fait polémique et pour lesquels il a été obligé de s'excuser quelques jours plus tard : "Je n'en pense pas un mot bien sûr, ils sont les dires d'un homme blessé et déçu qui voit son nouveau bébé interdit aux enfants dans un pays qui m'a si souvent accueilli. Vous n'avez pas un retard culturel comme je l'ai bêtement dit, nous sommes différents, c'est tout…"
© BOYER ETIENNE/SIPA