Une grande faculté d'adaptation

© Laurent Vu/SIPA
L'une des forces de Philippe Lacheau réside dans sa faculté d'adaptation. Durant sa jeunesse, il a créé de nombreux sketchs en composant avec peu de moyens, comme il l'a révélé à Télé 7 Jours en 2018 : "J'ai tourné tout et n'importe quoi. Je déguisais mon petit frère en fille, on portait des vêtements de ski pour faire les cosmonautes". Quelques années plus tard, le réalisateur a opté pour le found-footage dans Babysitting.  Une technique qu'il a choisie car elle n'impliquait pas un coût énorme. "On avait eu plusieurs projets de films qu'on avait écrits et qui ne s'étaient jamais faits parce qu'ils coûtaient cher. Du coup les financiers nous disaient non [...] Du coup, j'ai réfléchi à l'envers, l'idée c'était d'essayer de trouver un film pas cher. En fait, ce qui ne coûte pas cher, c'est le tournage en 'found-footage'" a-t-il admis dans la magazine Marie Claire en 2014.
L'une des forces de Philippe Lacheau réside dans sa faculté d'adaptation. Durant sa jeunesse, il a créé de nombreux sketchs en composant avec peu de moyens, comme il l'a révélé à Télé 7 Jours en 2018 : "J'ai tourné tout et n'importe quoi. Je déguisais mon petit frère en fille, on portait des vêtements de ski pour faire les cosmonautes". Quelques années plus tard, le réalisateur a opté pour le found-footage dans Babysitting.  Une technique qu'il a choisie car elle n'impliquait pas un coût énorme. "On avait eu plusieurs projets de films qu'on avait écrits et qui ne s'étaient jamais faits parce qu'ils coûtaient cher. Du coup les financiers nous disaient non [...] Du coup, j'ai réfléchi à l'envers, l'idée c'était d'essayer de trouver un film pas cher. En fait, ce qui ne coûte pas cher, c'est le tournage en 'found-footage'" a-t-il admis dans la magazine Marie Claire en 2014.
© Laurent Vu/SIPA