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Pour faire un bon roman noir, prenez...

 Un meurtre. Les romans noirs débutent toujours par la description d'un cadavre : un père Noël nu chez Arnaldur Indridason, une violoniste chez Martha Grimes...

 Un inspecteur charismatique de préférence génial, légérement irrespectueux de la hiérarchie et des procédures, sans doute un peu alcoolique une fois la nuit tombée, et ayant râté sa vie personnelle (son épouse l'a quitté, ou elle est décédée dans un incident tragique dont il n'a pas réussi à la sauver...)

 Une collègue indulgente qui vient seconder le personnage principal, le sortir de sa torpeur, le révéler à lui-même... sans pour autant qu'une relation plus intime se noue (ou alors, vraiment dans le dernier tome)

 Un meurtrier brillant et dissimulateur qui parvient, pendant plus de 200 pages parfois à passer inaperçu (!) jusqu'à ce que finalement... Eurêka, mais c'est bien sûr ! (La révélation est pour le lecteur, bien sûr, l'inspecteur chargé de l'enquête, lui, avait déjà de fortes suspicions avant même que vous ne commenciez le livre.)

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Sur les traces © David Alary - Fotolia

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