L'envol d'une Formule 1 des mers

Lorsqu'il a posé le pied à terre en 2004 à la fin de son premier tour du monde, Francis Joyon était convaincu qu'il "n'y retournerait pas". Trois ans plus tard, il embarque pourtant sur un multicoque qui va lui permettre de parcourir les 49 000 kilomètres de sa course contre la montre, à la vitesse moyenne de 19,09 noeuds, soit environ 35,35 km/h. Presque de quoi défier les hors-bords venus l'accueillir à l'arrivée.
© Jean-Marie Liot / DPPI / IDEC