Il a retrouvé sa femme ensanglantée

Jean-Pierre Coffe a retrouvé sa femme en sang dans la salle de bains © BENAROCH/SIPA
Jean-Pierre Coffe a par la suite raconté dans C'est au programme l'horreur de la scène qu'il a découverte lorsqu'il est rentré chez lui après une journée de travail, n'ayant aucune idée que sa femme avait décidé d'avorter en cachette : "Je suis arrivé tout à fait à l'improviste chez moi, mais sans aucune idée de contrôler, de vérifier ou rien du tout, je rentrais parce que j'avais fini le boulot, et là, je l'ai retrouvée assise sur un bidet de la salle de bain, en sang, avec mon petit garçon qui était là, mais qui était mort", explique-t-il bouleversé devant une Sophie Davant interdite. Avant de raconter la suite : "Le Samu est arrivé, on l'a trans­portée en ambu­lance et on ne voulait pas que je la voie. Je suis resté pour nettoyer, il y avait du sang partout, et j'ai décou­vert un petit tuyau, l'usten­sile dont se servaient les faiseuses d'anges quand avor­ter était inter­dit. C'était un acte volon­taire, un avor­te­ment voulu, et pas une fausse couche."
Jean-Pierre Coffe a par la suite raconté dans C'est au programme l'horreur de la scène qu'il a découverte lorsqu'il est rentré chez lui après une journée de travail, n'ayant aucune idée que sa femme avait décidé d'avorter en cachette : "Je suis arrivé tout à fait à l'improviste chez moi, mais sans aucune idée de contrôler, de vérifier ou rien du tout, je rentrais parce que j'avais fini le boulot, et là, je l'ai retrouvée assise sur un bidet de la salle de bain, en sang, avec mon petit garçon qui était là, mais qui était mort", explique-t-il bouleversé devant une Sophie Davant interdite. Avant de raconter la suite : "Le Samu est arrivé, on l'a trans­portée en ambu­lance et on ne voulait pas que je la voie. Je suis resté pour nettoyer, il y avait du sang partout, et j'ai décou­vert un petit tuyau, l'usten­sile dont se servaient les faiseuses d'anges quand avor­ter était inter­dit. C'était un acte volon­taire, un avor­te­ment voulu, et pas une fausse couche."
© BENAROCH/SIPA