Des disparités fortes

Suite du classement européen
VilleRalentissementsVilleRalentissements
Source : TomTom
26e : Cardiff22,6 % des routes43e : Francfort15,3% des routes 
27e : Vienne22,4 %44e : Hanovre14,8%
28e : Munich22,3% 45e : Glasgow14,7%
29e : Leeds21,8% 46e : Brême14,6%
30e : Cracovie21,2% 47e : Copenhague13,9%
31e : Essen21,1% 48e : Bratislava13,7%
32e : Hambourg20,6% 49e : Séville13,6%
33e : Lisbonne20% 50e : Berne10,9%
34e : Sheffield19,5% 51e : Vilnius10,8%
35e : Stuttgart19,1% 52e : Leipzig10,6%
36e : Cologne18,1% 53e : Dresde9,7%
37e : Düsseldorf17,8% 54e : Dortmund9,3%
38e : Berlin17,2% 55e : Malaga7,9%
39e : Tallinn16,8% 56e : Stockholm6,4%
40e : Helsinki16,7%57e : Zagreb5,9%
41e : Nüremberg16,6% 58e : Valence5,3%
42e : Madrid16,3% 59e : Saragosse1,5%
Les résidents espagnols et des pays nordiques sont les mieux lotis du classement. Seule une ville scandinave fait partie du Top 20 : Oslo qui est classée 16e avec 26% des routes embouteillées.
Oublions également nos idées reçues sur les pays latins et leur tempérament animé. Peu de bouchons sont recensés en Espagne : Barcelone arrive en 17e position mais toutes les autres villes ibériques apparaissent en queue de liste. Notamment Saragosse, dernière ville ou seulement 1,5% des routes connaissent des ralentissements. En conclusion, les automobilistes les plus malchanceux sont donc les conducteurs polonais et britanniques qui trustent le haut du classement.
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