Boivin, Takieddine, El-Assir, les intermédiaires

Jean-Marie Boivin © L'Internaute Magazine

1994-1995. Alors que le contrat est presque finalisé, le gouvernement français impose trois intermédiaires de dernière minute. Cette arrivée tardive et forcée de Ziad Takieddine, Abdelrahmane El Assir et Ali ben Moussalem provoque de premières craintes de détournement des commissions. Le trio, qu'on baptise alors "réseau K", aurait reçu plusieurs dizaines de millions d'euros. D'autres sommes importantes (45 millions d'euros) seraient passées par un quatrième homme : Jean-Marie Boivin. Ce dernier a créé avec la DCN un circuit "offshore" pour faire transiter les commissions. On parle aujourd'hui beaucoup de la société Heine qu'il a fondée en 1994 au Luxembourg.

1994-1995. Alors que le contrat est presque finalisé, le gouvernement français impose trois intermédiaires de dernière minute. Cette arrivée tardive et forcée de Ziad Takieddine, Abdelrahmane El Assir et Ali ben Moussalem provoque de premières craintes de détournement des commissions. Le trio, qu'on baptise alors "réseau K", aurait reçu plusieurs dizaines de millions d'euros. D'autres sommes importantes (45 millions d'euros) seraient passées par un quatrième homme : Jean-Marie Boivin. Ce dernier a créé avec la DCN un circuit "offshore" pour faire transiter les commissions. On parle aujourd'hui beaucoup de la société Heine qu'il a fondée en 1994 au Luxembourg.
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