Pour certains, sa notoriété est "totalement programmée" (2/2)

Greta Thunberg au Parlement italien à Rome, le 18 avril 2019. © Alessandro Di Meo / AP / SIPA
Isabelle Attard cite ensuite l'enquête du journaliste d'investigation suédois Andreas Henriksson, publiée le 11 décembre 2018 sur le blog de l'écrivaine suédoise Rebecca Weidmo Uvell. Et pointe le fait que la plate-forme numérique cofondée par Ingmar Rentzhog en 2016, "We Don't Have Time", ambitionne de mettre sur pied un réseau social aux plus de 100 millions de membres, pour influencer décideurs politiques et chefs d'entreprise et "sauver la planète tout en maintenant la croissance économique et en réclamant encore plus de mondialisation", soit du "greenwashing". Relayé par Libération, un journal suédois accuse par ailleurs Ingmar Rentzhog d'avoir levé près d'un million d'euros en se servant de l'image de l'adolescente comme conseillère (informelle et non rémunérée) de sa plate-forme, ce que l'enteprise nie dans un communiqué du 10 février 2019 (voir ici).
Isabelle Attard cite ensuite l'enquête du journaliste d'investigation suédois Andreas Henriksson, publiée le 11 décembre 2018 sur le blog de l'écrivaine suédoise Rebecca Weidmo Uvell. Et pointe le fait que la plate-forme numérique cofondée par Ingmar Rentzhog en 2016, "We Don't Have Time", ambitionne de mettre sur pied un réseau social aux plus de 100 millions de membres, pour influencer décideurs politiques et chefs d'entreprise et "sauver la planète tout en maintenant la croissance économique et en réclamant encore plus de mondialisation", soit du "greenwashing". Relayé par Libération, un journal suédois accuse par ailleurs Ingmar Rentzhog d'avoir levé près d'un million d'euros en se servant de l'image de l'adolescente comme conseillère (informelle et non rémunérée) de sa plate-forme, ce que l'enteprise nie dans un communiqué du 10 février 2019 (voir ici).
© Alessandro Di Meo / AP / SIPA