"Personne" ne l'a soutenue au départ

Des milliers de jeunes lors d'une manifestation du vendredi pour le climat à Lyon, le 20 septembre 2019. © KONRAD K. / SIPA
Au départ, dans l'école de Greta Thunberg, il y avait "notamment une idée vague d'une grève scolaire (que les écoliers fassent quelque chose dans les cours d'école ou dans les salles de classe), inspirée par les étudiants de Parkland qui avaient refusé d'aller à l'école après la fusillade", raconte-t-elle dans ce même post Facebook du 2 février 2019. "J'ai aimé l'idée d'une grève scolaire. Je l'ai donc développée, et j'ai essayé d'amener les autres jeunes à se joindre à moi, mais personne n'était vraiment intéressé. Ils pensaient qu'une version suédoise de la marche Zero Hour aurait des effets plus importants. J'ai donc continué à planifier la grève de l'école toute seule et après cela, je n'ai plus participé à d'autres réunions avec ce groupe. Quand j'ai parlé de mes projets à mes parents, ils n'ont pas été conquis. Ils n'étaient pas favorables à une grève dans les écoles et ils ont dit que, si je le faisais, je devais le faire toute seule et sans leur soutien".
Au départ, dans l'école de Greta Thunberg, il y avait "notamment une idée vague d'une grève scolaire (que les écoliers fassent quelque chose dans les cours d'école ou dans les salles de classe), inspirée par les étudiants de Parkland qui avaient refusé d'aller à l'école après la fusillade", raconte-t-elle dans ce même post Facebook du 2 février 2019. "J'ai aimé l'idée d'une grève scolaire. Je l'ai donc développée, et j'ai essayé d'amener les autres jeunes à se joindre à moi, mais personne n'était vraiment intéressé. Ils pensaient qu'une version suédoise de la marche Zero Hour aurait des effets plus importants. J'ai donc continué à planifier la grève de l'école toute seule et après cela, je n'ai plus participé à d'autres réunions avec ce groupe. Quand j'ai parlé de mes projets à mes parents, ils n'ont pas été conquis. Ils n'étaient pas favorables à une grève dans les écoles et ils ont dit que, si je le faisais, je devais le faire toute seule et sans leur soutien".
© KONRAD K. / SIPA