L'histoire de Marie-Thérèse Walter et Picasso, de la "pédocriminalité"

Tableau "Femme au béret et à la robe quadrillée" (1937). Portrait de Marie-Thérèse Walter, amante et muse de Pablo Picasso à l'époque. © DHF/ZDS/WENN.COM/SIPA (publiée le 05/04/2023)

Quand Pablo Picasso rencontre Marie-Thérèse Walter dans la rue en 1926, et l'aborde, elle a 17 ans, lui 45. Elle se met à poser pour lui régulièrement et devient "son objet de fantasme quasi obsessionnel". Leur liaison débute en quelque mois. Julie Beauzac s'insurge : "C'est une histoire encore trop souvent présentée comme une énième aventure de Picasso, qui était un homme à femmes, (…) mais avec des termes d'aujourd'hui, c'est de la pédocriminalité [crime à l'encontre des mineurs]". L'artiste fait faire à la lycéenne tout ce qu'il veut, poursuit Julie Beauzac, "y compris sexuellement". Dans Picasso : le regard du Minotaure, Sophie Chauveau raconte que Picasso disait à Marie-Thérèse : "Même si c'est mal, même si tu crois que c'est mal, même si ça fait mal c'est de l'amour le plus pur". 

Quand Pablo Picasso rencontre Marie-Thérèse Walter dans la rue en 1926, et l'aborde, elle a 17 ans, lui 45. Elle se met à poser pour lui régulièrement et devient "son objet de fantasme quasi obsessionnel". Leur liaison débute en quelque mois. Julie Beauzac s'insurge : "C'est une histoire encore trop souvent présentée comme une énième aventure de Picasso, qui était un homme à femmes, (…) mais avec des termes d'aujourd'hui, c'est de la pédocriminalité [crime à l'encontre des mineurs]". L'artiste fait faire à la lycéenne tout ce qu'il veut, poursuit Julie Beauzac, "y compris sexuellement". Dans Picasso : le regard du Minotaure, Sophie Chauveau raconte que Picasso disait à Marie-Thérèse : "Même si c'est mal, même si tu crois que c'est mal, même si ça fait mal c'est de l'amour le plus pur". 
© DHF/ZDS/WENN.COM/SIPA (publiée le 05/04/2023)