Pablo Picasso était un "obsédé de la destruction"

Portion des "Demoiselles d'Avignon" de Pablo Picasso (1907). © /AP/SIPA (publiée le 05/04/2023)

Pablo Picasso était totalement "obsédé par l'idée de destruction", apprend-on dans l'épisode saisissant du podcast "Vénus s'épilait-elle la chatte ?" consacré à l'artiste espagnol. Il disait : "Pour moi il y a deux types de femmes, les déesses et les paillassons", reprend l'ouvrage Vivre avec Picasso, de Françoise Gilot (une ex-compagne) et Carlton Lake (Ed. 10/18, 2006) ; ou encore : "La nature existe pour que nous puissions la violer", dixit Arianna Huffington dans Picasso, créateur et destructeur. "C'est vraiment dans la destruction des femmes qu'il s'est 'spécialisé'", conclut Julie Beauzac, de l'Ecole du Louvre. "C'est assez effarant de voir, dans son travail, le nombre de femmes qui sont complètement démembrées ou disloquées, et ça va largement au-delà d'une recherche qui serait purement esthétique".

Pablo Picasso était totalement "obsédé par l'idée de destruction", apprend-on dans l'épisode saisissant du podcast "Vénus s'épilait-elle la chatte ?" consacré à l'artiste espagnol. Il disait : "Pour moi il y a deux types de femmes, les déesses et les paillassons", reprend l'ouvrage Vivre avec Picasso, de Françoise Gilot (une ex-compagne) et Carlton Lake (Ed. 10/18, 2006) ; ou encore : "La nature existe pour que nous puissions la violer", dixit Arianna Huffington dans Picasso, créateur et destructeur. "C'est vraiment dans la destruction des femmes qu'il s'est 'spécialisé'", conclut Julie Beauzac, de l'Ecole du Louvre. "C'est assez effarant de voir, dans son travail, le nombre de femmes qui sont complètement démembrées ou disloquées, et ça va largement au-delà d'une recherche qui serait purement esthétique".
© /AP/SIPA (publiée le 05/04/2023)