Il s'est opposé à l'abolition du mot "race" de la Constitution

La Constitution française, image d'illustration. © ASLAN/SIPA (publiée le 23/05/2022)

Adepte du "consensus", "diplomate", "détestant les polémiques stériles", Pap Ndiaye s'opposera publiquement à l'abolition du mot "race" de la Constitution, voulue par les députés en 2018, estimant que la mesure "ne fera pas disparaître les discriminations fondées sur elle". Il dénonce régulièrement le communautarisme et prend ouvertement ses distances avec les indigénistes. Au moment de sa nomination à la tête du musée de l'Histoire de l'immigration, Pap Ndiaye a également appelé de ses vœux une étude des questions raciales et migratoires empreinte de "bienveillance, sérénité et engagement, sans dogmatisme", pour "faire de l'immigration un élément central de l'histoire nationale". Concernant le passé colonial de la France et les débats qu'il suscite, il a plaidé pour "apaiser" sans "édulcorer, ni occulter".

Adepte du "consensus", "diplomate", "détestant les polémiques stériles", Pap Ndiaye s'opposera publiquement à l'abolition du mot "race" de la Constitution, voulue par les députés en 2018, estimant que la mesure "ne fera pas disparaître les discriminations fondées sur elle". Il dénonce régulièrement le communautarisme et prend ouvertement ses distances avec les indigénistes. Au moment de sa nomination à la tête du musée de l'Histoire de l'immigration, Pap Ndiaye a également appelé de ses vœux une étude des questions raciales et migratoires empreinte de "bienveillance, sérénité et engagement, sans dogmatisme", pour "faire de l'immigration un élément central de l'histoire nationale". Concernant le passé colonial de la France et les débats qu'il suscite, il a plaidé pour "apaiser" sans "édulcorer, ni occulter".
© ASLAN/SIPA (publiée le 23/05/2022)