17e- Limoges

Limoges © Photomontage L'Internaute

En Haute-Vienne, les sites miniers de la Crouzille, de Bessines et de la Benaize font l'objet d'une surveillance radiologique depuis leur fermeture au milieu des années 1990 et au début des années 2000. Comme dans la Saône-et-Loire et le Cantal, l'extraction et le traitement de l'uranium, en vogue ici dans l'après-guerre, ont traîné derrière eux un certain nombre d'inquiétudes. Plus au sud, Limoges, à 121,3 nanosieverts par heure en moyenne, reste à des taux de rayonnements gamma inoffensifs. Mais elle serait aujourd'hui l'une des grande villes les plus "radioactives" de France selon plusieurs spécialistes de la question.

En Haute-Vienne, les sites miniers de la Crouzille, de Bessines et de la Benaize font l'objet d'une surveillance radiologique depuis leur fermeture au milieu des années 1990 et au début des années 2000. Comme dans la Saône-et-Loire et le Cantal, l'extraction et le traitement de l'uranium, en vogue ici dans l'après-guerre, ont traîné derrière eux un certain nombre d'inquiétudes. Plus au sud, Limoges, à 121,3 nanosieverts par heure en moyenne, reste à des taux de rayonnements gamma inoffensifs. Mais elle serait aujourd'hui l'une des grande villes les plus "radioactives" de France selon plusieurs spécialistes de la question.
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