Etat islamique (Daech) : la terreur en Irak et en Syrie

Cette image de propagande est extraite d'une publication de l'organisation, Dabiq © DR
C'est pour rejoindre ses combattants que des centaines de jeunes Français ont traversé les frontières. Issue de la fusion en 2006 d'Al-Qaïda en Irak avec d'autres groupes de moudjahidines locaux, l'organisation a profité du chaos régnant en Irak et en Syrie pour contrôler d'immenses territoires, où elle rétablit la charia la plus stricte. Le 29 juin 2014, l'organisation a proclamé l'instauration d'un califat, avec à sa tête son leader Abou Bakr al-Baghdadi, centré autour des villes de Mossoul et Racca. Emancipée d'Al-Qaïda, Daech (c'est l'accronyme arabe utilisé par ses opposants) multiplie exécutions, viols, mises en esclavage, rançons et se finance par des dons étrangers et la contrebande de pétrole. Elle compterait aujourd'hui plus de 30 000 combattants (dont un millier de Français) et d'armes lourdes. Combattue par l'armée officielle irakienne, les peshmerga (Kurdes) et bombardée par une coalition occidentale, l'organisation multiplie actuellement les mises en garde à destination de l'Hexagone.
C'est pour rejoindre ses combattants que des centaines de jeunes Français ont traversé les frontières. Issue de la fusion en 2006 d'Al-Qaïda en Irak avec d'autres groupes de moudjahidines locaux, l'organisation a profité du chaos régnant en Irak et en Syrie pour contrôler d'immenses territoires, où elle rétablit la charia la plus stricte. Le 29 juin 2014, l'organisation a proclamé l'instauration d'un califat, avec à sa tête son leader Abou Bakr al-Baghdadi, centré autour des villes de Mossoul et Racca. Emancipée d'Al-Qaïda, Daech (c'est l'accronyme arabe utilisé par ses opposants) multiplie exécutions, viols, mises en esclavage, rançons et se finance par des dons étrangers et la contrebande de pétrole. Elle compterait aujourd'hui plus de 30 000 combattants (dont un millier de Français) et d'armes lourdes. Combattue par l'armée officielle irakienne, les peshmerga (Kurdes) et bombardée par une coalition occidentale, l'organisation multiplie actuellement les mises en garde à destination de l'Hexagone.
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