Des mains de super-héros en 3D

Griffin Matuszek, 5 ans, essaye lui aussi sa nouvelle main en 3-D, à Baltimore (Etats-Unis). © SIPANY/SIPA
Maxence a six ans et est né sans main droite. Le 17 août 2015, il a été équipé d'une prothèse de main imprimée en 3D, technologie peu coûteuse et ludique, sans recours à la chirurgie. Depuis 2013, une fondation américaine, e-NABLE, a lancé un réseau philanthropique d'un genre particulier : mettre en relation des personnes disposant d'imprimantes 3D avec des familles ayant des enfants à qui il manque des doigts ou une main. Déjà plus de 1 500 prothèses ont été fournies via la plateforme. En enfilant pour la première fois sa main de super héros, customisée en orange, jaune et bleu, Maxence l'a baptisée "SuperMax" devant les journalistes réunis dans la maison familiale à Cessieu (Isère). 
Maxence a six ans et est né sans main droite. Le 17 août 2015, il a été équipé d'une prothèse de main imprimée en 3D, technologie peu coûteuse et ludique, sans recours à la chirurgie. Depuis 2013, une fondation américaine, e-NABLE, a lancé un réseau philanthropique d'un genre particulier : mettre en relation des personnes disposant d'imprimantes 3D avec des familles ayant des enfants à qui il manque des doigts ou une main. Déjà plus de 1 500 prothèses ont été fournies via la plateforme. En enfilant pour la première fois sa main de super héros, customisée en orange, jaune et bleu, Maxence l'a baptisée "SuperMax" devant les journalistes réunis dans la maison familiale à Cessieu (Isère). 
© SIPANY/SIPA