Un étudiant fait plier Facebook

Max Schrems à la Cour européenne de justice du Luxembourg le 6 octobre. © Geert Vanden Wijngaert/AP/SIPA
En octobre dernier, la Cour européenne de justice a donné raison à Maximilian Schrems, un étudiant autrichien en Droit. Ce dernier a réussi à faire invalider par la plus haute instance européenne l'accord "Safe Harbor". Ce dernier encadre la manière dont les entreprises américaines peuvent transférer direction les Etats-Unis les données personnelles des citoyens européens utilisateurs de leurs services. L'activiste avait déposé pas moins de 22 plaintes distinctes à l'encontre de Facebook. Il accusait notamment le réseau social de stocker des données précédemment effacées par ses utilisateurs ou de créer des "profils fantômes" rassemblant des informations personnelles sur des personnes non-utilisatrices de Facebook.  
En octobre dernier, la Cour européenne de justice a donné raison à Maximilian Schrems, un étudiant autrichien en Droit. Ce dernier a réussi à faire invalider par la plus haute instance européenne l'accord "Safe Harbor". Ce dernier encadre la manière dont les entreprises américaines peuvent transférer direction les Etats-Unis les données personnelles des citoyens européens utilisateurs de leurs services. L'activiste avait déposé pas moins de 22 plaintes distinctes à l'encontre de Facebook. Il accusait notamment le réseau social de stocker des données précédemment effacées par ses utilisateurs ou de créer des "profils fantômes" rassemblant des informations personnelles sur des personnes non-utilisatrices de Facebook.  
© Geert Vanden Wijngaert/AP/SIPA