A chaque profil sa "note de désirabilité"

© ROBIN UTRECHT / SIPA
Après une rupture amoureuse, la journaliste indépendante de 32 ans auteure de l'ouvrage a décidé de s'inscrire sur Tinder pour faire des rencontres et a découvert "l'ivresse de se sentir désirée par des dizaines d'hommes", précise sa maison d'édition. Mais quand elle lit dans un article (voir ici) que Tinder attribue secrètement une "note de désirabilité" à chaque utilisateur, la jeune journaliste se lance dans une quête acharnée, toujours selon les Editions Goutte d'Or : "découvrir combien elle vaut selon leurs critères". Judith Duportail écrit dans "L'Amour sous algorithme" : "Chaque utilisateur de Tinder est donc noté en fonction de sa désirabilité. Quoi ? Je savais qu'Uber notait ses passagers, d'ailleurs je m'amuse régulièrement à comparer ma note avec mes amis. Tinder aussi ?".
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