La voiture à l'hydrogène

La Toyota Mirai fait figure de pionnière © Toyota
La prochaine étape pourrait bien se nommer hydrogène. L'essence résiste années après années mais l'hybride puis l'électrique ont ouvert la porte. L'hydrogène pointe le bout de son nez avec le lancement de plusieurs modèles par des constructeurs asiatiques (Toyota Mirai et Hyundai Ioniq après le SUV Ix35 Fuell Cell). Le moteur électrique est alimenté par une pile à combustible dans lequel le dihydrogène, mélangé au dioxygène présent dans l'air, produit de l'électricité. L'autonomie dépasse déjà les 500 kilomètres et le plein est bien plus rapide qu'une charge sur un véhicule électrique : 4 minutes pour la Toyota Mirai. Problème pour l'heure, l'absence de stations de distribution (une seule à Paris) limite son développement. La solution technologique vous paraît miraculeuse ? Attention au revers de la médaille, la transformation en dihydrogène est coûteuse et complexe. Le moyen le plus utilisé aujourd'hui et le vaporeformage des hydrocarbures. Problème, les émissions en CO2 lors de la transformation peuvent être alors comparables (ou légèrement inférieures) à celles d'un moteur diesel… Il faut trouver d'autres moyens de productions d'hydrogène pour développer ce moyen de locomotion. Les ingénieurs y travaillent intensément.
La prochaine étape pourrait bien se nommer hydrogène. L'essence résiste années après années mais l'hybride puis l'électrique ont ouvert la porte. L'hydrogène pointe le bout de son nez avec le lancement de plusieurs modèles par des constructeurs asiatiques (Toyota Mirai et Hyundai Ioniq après le SUV Ix35 Fuell Cell). Le moteur électrique est alimenté par une pile à combustible dans lequel le dihydrogène, mélangé au dioxygène présent dans l'air, produit de l'électricité. L'autonomie dépasse déjà les 500 kilomètres et le plein est bien plus rapide qu'une charge sur un véhicule électrique : 4 minutes pour la Toyota Mirai. Problème pour l'heure, l'absence de stations de distribution (une seule à Paris) limite son développement. La solution technologique vous paraît miraculeuse ? Attention au revers de la médaille, la transformation en dihydrogène est coûteuse et complexe. Le moyen le plus utilisé aujourd'hui et le vaporeformage des hydrocarbures. Problème, les émissions en CO2 lors de la transformation peuvent être alors comparables (ou légèrement inférieures) à celles d'un moteur diesel… Il faut trouver d'autres moyens de productions d'hydrogène pour développer ce moyen de locomotion. Les ingénieurs y travaillent intensément.
© Toyota