Johnny Hallyday en Suisse pour payer moins d'impôts

Johnny Hallyday © DUPUY FLORENT/SIPA
Depuis qu'il est devenu l'idole de toute une génération, Johnny Hallyday a quitté son pays pour bénéficier de conditions fiscales plus avantageuses. Le rockeur vit désormais à Los Angeles, aux Etats-Unis, après avoir habité en Suisse à Gstaad de 2006 à 2013. Le pays helvétique offre un régime financier intéressant pour les plus riches qui sont taxés sur leurs dépenses et non sur leurs revenus. D'ailleurs le chanteur avouait cet exil fiscal sans détour en 2013 dans son autobiographie Dans mes Yeux : "On a souvent dit que je m'étais barré pour ne pas payer d'impôts. C'est en partie vrai, mais c'est aussi parce que c'est épuisant cette ambiance. Je me suis toujours demandé pourquoi aux États-Unis quand t'as une belle voiture, les mecs sourient et te disent formidable, et en France on te traite de voleur. Sale mentalité, pour un pays dont j'ai porté les couleurs, qui a bien voulu faire de moi son emblème quand c'était nécessaire, je me suis senti trahi, accusé à tort, sali."
Depuis qu'il est devenu l'idole de toute une génération, Johnny Hallyday a quitté son pays pour bénéficier de conditions fiscales plus avantageuses. Le rockeur vit désormais à Los Angeles, aux Etats-Unis, après avoir habité en Suisse à Gstaad de 2006 à 2013. Le pays helvétique offre un régime financier intéressant pour les plus riches qui sont taxés sur leurs dépenses et non sur leurs revenus. D'ailleurs le chanteur avouait cet exil fiscal sans détour en 2013 dans son autobiographie Dans mes Yeux : "On a souvent dit que je m'étais barré pour ne pas payer d'impôts. C'est en partie vrai, mais c'est aussi parce que c'est épuisant cette ambiance. Je me suis toujours demandé pourquoi aux États-Unis quand t'as une belle voiture, les mecs sourient et te disent formidable, et en France on te traite de voleur. Sale mentalité, pour un pays dont j'ai porté les couleurs, qui a bien voulu faire de moi son emblème quand c'était nécessaire, je me suis senti trahi, accusé à tort, sali."
© DUPUY FLORENT/SIPA