Ces déchets qui deviennent des trésors

L'éco-organisme Screlec a détourné dans le cadre d'une campagne publicitaire le célèbre tableau de Magritte "Ceci n'est pas une pipe", afin d'inciter au recyclage des piles et batteries usagées © Screlec Environnement

Pile ou face ?

Plus aucune raison de ne pas ramener les piles et batteries en magasin. En France, la majorité des supermarchés accueillent aujourd'hui des bornes de collecte en libre service où il est très simple de déposer ses accumulateurs usagés. Zinc, fer, manganèse, plomb, cadmium... si ces métaux lourds sont toxiques pour l'environnement, il est d'autant plus essentiel de ne pas les laisser s'évader dans la nature. Il est d'ailleurs possible pour certains accumulateurs de récupérer 65 % des métaux qu'ils contiennent et de pouvoir les réutiliser pour l'élaboration de nouveaux produits. Outre des articles ménagers, sur lesquels l'éco-organisme Screlec chargé de leur récupération, a communiqué avec sa symbolique petite cuillère, les matériaux peuvent servir à fabriquer des pièces automobiles, des canettes, vélos, clés et bien entendu de nouvelles piles.

Pile ou face ? Plus aucune raison de ne pas ramener les piles et batteries en magasin. En France, la majorité des supermarchés accueillent aujourd'hui des bornes de collecte en libre service où il est très simple de déposer ses accumulateurs usagés. Zinc, fer, manganèse, plomb, cadmium... si ces métaux lourds sont toxiques pour l'environnement, il est d'autant plus essentiel de ne pas les laisser s'évader dans la nature. Il est d'ailleurs possible pour certains accumulateurs de récupérer 65 % des métaux qu'ils contiennent et de pouvoir les réutiliser pour l'élaboration de nouveaux produits. Outre des articles ménagers, sur lesquels l'éco-organisme Screlec chargé de leur récupération, a communiqué avec sa symbolique petite cuillère, les matériaux peuvent servir à fabriquer des pièces automobiles, des canettes, vélos, clés et bien entendu de nouvelles piles.
© Screlec Environnement