A350 et B787 : ils évitent le mal de l'altitude

Le B787 est constitué à hauteur de 50 % de matériaux composites et l’A350 fait encore mieux avec 53 %. Pour le coup, les avions sont plus légers et consomment moins de carburant. Ils sont également plus résistants et lorsqu’ils montent en altitude, la pression de la cabine se maintient mieux que dans les autres modèles. Ainsi, elle correspond désormais à une altitude d’environ 2 000 mètres au lieu de près de 2 700 auparavant. Cela tombe bien, puisque c’est justement au-delà de 2 000 mètres que les premiers symptômes du mal de l’altitude apparaissent. Autrement dit, le passager respire mieux et descend de l’avion moins fatigué.
© Sylvain Biget