Les nominations du CSA déplaisent à Nicolas Sarkozy

Olivier Schrameck, président du CSA © WITT/SIPA
Lorsque Nicolas Sarkozy était au pouvoir, c'est lui qui avait le pouvoir de nommer le président de France Télévisions et des autres instances de l'audiovisuel public. Désormais, c'est le Conseil Supérieur de l'Audiovisuel (CSA) qui a repris le flambeau, ce qui ne semble pas être du goût de l'ancien président de la République. Selon lui, les "auditions secrètes" mises en place par le CSA pour désigner les nouveaux dirigeants sont semblables à "une farce". "Je crois donc que la meilleure solution consiste à supprimer le pouvoir de nomination du CSA et à demander aux commissions parlementaires spécialisées d'exercer à sa place l'essentiel de ses compétences". Pour Nicolas Sarkozy, une telle mesure permettrait à la démocratie de gagner "en transparence".
Lorsque Nicolas Sarkozy était au pouvoir, c'est lui qui avait le pouvoir de nommer le président de France Télévisions et des autres instances de l'audiovisuel public. Désormais, c'est le Conseil Supérieur de l'Audiovisuel (CSA) qui a repris le flambeau, ce qui ne semble pas être du goût de l'ancien président de la République. Selon lui, les "auditions secrètes" mises en place par le CSA pour désigner les nouveaux dirigeants sont semblables à "une farce". "Je crois donc que la meilleure solution consiste à supprimer le pouvoir de nomination du CSA et à demander aux commissions parlementaires spécialisées d'exercer à sa place l'essentiel de ses compétences". Pour Nicolas Sarkozy, une telle mesure permettrait à la démocratie de gagner "en transparence".
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