Desireless, de la lumière à l'ombre

Desireless en 2016 à Toulouse © Simon Decleves/SIPA
Depuis le succès des années 1980, Desireless s'est faite plus discrète. Dans les années 1990, la chanteuse décide de mettre sa carrière entre parenthèses pour se consacrer à sa vie de famille, après la naissance de sa fille. Les années suivantes seront marquées par la sortie de plusieurs albums ou par sa participation en 2007 à la tournée RFM Party 80, pendant trois ans. Dans les années 2010, Desireless publie plusieurs livres, dont deux autobiographies. 
Comme Patrick Hernandez, son tube Voyage, voyage lui assure une rente non négligeable, mais loin des sommes touchées par l'auteur de Born to be Alive. "Si j'étais auteure et compositrice, je serais très riche. Mais je ne suis qu'interprète de Voyage, voyage, je ne touche donc 'que' 2 000 euros par an grâce à cette chanson. Je survis en chantant Voyage, voyage dans mes concerts", avait révélé la chanteuse en 2018 dans une interview accordée à France Dimanche.
Depuis le succès des années 1980, Desireless s'est faite plus discrète. Dans les années 1990, la chanteuse décide de mettre sa carrière entre parenthèses pour se consacrer à sa vie de famille, après la naissance de sa fille. Les années suivantes seront marquées par la sortie de plusieurs albums ou par sa participation en 2007 à la tournée RFM Party 80, pendant trois ans. Dans les années 2010, Desireless publie plusieurs livres, dont deux autobiographies.  Comme Patrick Hernandez, son tube Voyage, voyage lui assure une rente non négligeable, mais loin des sommes touchées par l'auteur de Born to be Alive. "Si j'étais auteure et compositrice, je serais très riche. Mais je ne suis qu'interprète de Voyage, voyage, je ne touche donc 'que' 2 000 euros par an grâce à cette chanson. Je survis en chantant Voyage, voyage dans mes concerts", avait révélé la chanteuse en 2018 dans une interview accordée à France Dimanche.
© Simon Decleves/SIPA