La robe rose

Sargent et Sorolla aiment peindre le monde féminin dans les moindres détails. Leurs silhouettes sont parfaitement intégrées à l'environnement, comme si elles en faisaient partie, ce qui donne une impression d'unité parfaite. Joaquín Sorolla : "La robe rose" (1916) huile sur toile, 208 x 126,5 cm. Musée Sorolla, Madrid.
© Musée Sorolla, Madrid
Aurore DUBOIS-SEAC'H