Ces sept poissons riches en mercure sont à éviter ABSOLUMENT et trois populations sont plus exposées aux risques

Ces sept poissons riches en mercure sont à éviter ABSOLUMENT et trois populations sont plus exposées aux risques Un groupe de travail chargé de rédiger des recommandations sur la consommation de poisson donne des indications sur les meilleurs poissons à consommer.

"La sardine et le maquereau sont quelques-unes des options à privilégier, car ils contiennent moins de mercure et sont riches en oméga-3". C'est l'une des conclusions du groupe de travail portugais qui a analysé la consommation et les taux de mercure dans différentes espèces de poissons et les risques qu'ils présentent pour notre corps.

L'étude est basée sur la fréquence de consommation de la population portugaise, obtenue grâce à l'enquête nationale (IAN-AF), et sur les données relatives à la teneur en mercure déterminées dans des centaines d'échantillons prélevés et analysés dans le cadre du contrôle officiel et de différentes études scientifiques, selon un communiqué de l'équipe représentant le groupe de travail. 

Suite à cette analyse, l'équipe souligne l'importance de privilégier le choix de poissons moins contaminés. Ainsi, en plus de la sardine et du maquereau, on note également le choix d'espèces telles que le flétan, la morue, le maquereau, le calmar, la corbine, le doré, le flet, le calmar, la merlu, la pieuvre, la raie, le "redfish" et le bar, qui ont généralement des taux faibles en mercure.

En revanche, les poissons à éviter comprennent le "thon frais (pas celui en conserve), le requin, l'espadon, le merlu, la seiche violette, les poissons-épée et le requin teinturier".

"Pas d'inquiétude pour la population générale, la recommandation est de consommer du poisson fréquemment, jusqu'à 7 fois par semaine. Cependant, l'exposition au mercure pour trois groupes de populations à risques (les femmes enceintes, les femmes allaitant et les enfants jusqu'à 10 ans) montre que la consommation devrait être moins fréquente (3 à 4 fois par semaine) pour elles", ajoute le même communiqué. Et il insiste : "Lors du choix de l'espèce à consommer, la diversité, même dans le poisson, est  un point essentiel pour une alimentation équilibrée et saine."