Un tournage plus vrai que nature

La difficulté du sujet de Tropique amers a fait des quatre mois et demi de tournage, un moment particulièrement intense. Léa Bosco retient la violence des scènes : "Même si je savais qu'il s'agissait de figurants, voir des personnes dans des cages, à qui l'on inflige les pires châtiments, fut un énorme choc. Une vraie claque." Mais Fatou N'Diaye souligne l'ambiance du plateau : "Etrangement, j'ai l'impression que, lorsque le thème est dur, l'équipe n'en est que plus douce."
© Patrick Glaize / Lizland Films