Des psychologues surveillaient les programmes

Dragon Ball Z © RONALDGRANT/MARY EVANS/SIPA
Le Club Dorothée se démarque dans le paysage télévisuel en proposant des programmes destinés aux jeunes, mais également des anime japonais, alors inédits sur le petit écran français. Cependant, la diffusion de Goldorak ou Dragon Ball Z a suscité de nombreuses polémiques à l'époque, certains politiques ou observateurs jugeant que ces anime étaient "trop violents" pour les enfants. Pour être certain que ce que proposait le Club Dorothée était adapté au jeune public, une équipe de psychologues regardait tout ce qui était diffusé, et demandait des coupes lorsque certains passages étaient jugés trop violents. "On faisait notre devoir, on était sans danger" affirme Jean-Luc Azoulay.
Le Club Dorothée se démarque dans le paysage télévisuel en proposant des programmes destinés aux jeunes, mais également des anime japonais, alors inédits sur le petit écran français. Cependant, la diffusion de Goldorak ou Dragon Ball Z a suscité de nombreuses polémiques à l'époque, certains politiques ou observateurs jugeant que ces anime étaient "trop violents" pour les enfants. Pour être certain que ce que proposait le Club Dorothée était adapté au jeune public, une équipe de psychologues regardait tout ce qui était diffusé, et demandait des coupes lorsque certains passages étaient jugés trop violents. "On faisait notre devoir, on était sans danger" affirme Jean-Luc Azoulay.
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