Qui parle le plus de "Crise" ?

Occurences du mot "Crise" sur 1000 mots prononcés. © Solfé communication/Photomontage : L'Internaute

Le mot "Crise" est certes difficile à interpréter, pouvant être utilisé dans différents thèmes et sur plusieurs registres. Il reflète cependant les préoccupations (réalistes ou anxiogènes ?) de nos hommes et femmes politiques. C'est François Hollande qui utilise le plus ce terme depuis 2000 avec 3,3 occurrences sur 1000. Il est suivi de Manuel Valls, utilisant certainement ce terme également pour parler des banlieues ou de l'intégration, puis, logiquement, de Christine Lagarde et de François Fillon, pleinement touchés par la crise depuis 2008.

Les termes connexes

Le mot "Récession" est beaucoup moins utilisé dans le vocabulaire de nos politiques, mais on retrouve une certaine logique dans les classements puisque François Fillon est celui qui utilise le plus ce terme (0,2 pour 1000), suivi de François Hollande puis d'Olivier Besancenot. Le mot "Dépression", plus équivoque, est très peu utilisé quant à lui et sans doute peu représentatif. C'est Dominique Strauss-Kahn qui l'utiliserait le plus (0,07 pour 1000) devant Nicolas Sarkozy.

Le mot "Crise" est certes difficile à interpréter, pouvant être utilisé dans différents thèmes et sur plusieurs registres. Il reflète cependant les préoccupations (réalistes ou anxiogènes ?) de nos hommes et femmes politiques. C'est François Hollande qui utilise le plus ce terme depuis 2000 avec 3,3 occurrences sur 1000. Il est suivi de Manuel Valls, utilisant certainement ce terme également pour parler des banlieues ou de l'intégration, puis, logiquement, de Christine Lagarde et de François Fillon, pleinement touchés par la crise depuis 2008. Les termes connexes Le mot "Récession" est beaucoup moins utilisé dans le vocabulaire de nos politiques, mais on retrouve une certaine logique dans les classements puisque François Fillon est celui qui utilise le plus ce terme (0,2 pour 1000), suivi de François Hollande puis d'Olivier Besancenot. Le mot "Dépression", plus équivoque, est très peu utilisé quant à lui et sans doute peu représentatif. C'est Dominique Strauss-Kahn qui l'utiliserait le plus (0,07 pour 1000) devant Nicolas Sarkozy.
© Solfé communication/Photomontage : L'Internaute