Les anciens élèves de Bétharram qui se remémorent ces violences décrivent des méthodes et une organisation bien rodée. "Dans cet établissement, le dispositif est systémique. Ça a été pensé, affiné sur plusieurs années, optimisé. C'est complètement carcéral", souligne Loïc, qui a fréquenté l'institution religieuse au début des années 90, auprès de Médiapart. Malgré ces violences qu'il dit avoir subies, il estime avoir vécu "simplement ce que 100 % des internes ont vécu" et avoir évité "le pire du pire" : les agressions sexuelles.
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