Rentabilité et naming ?

Les jeux d'éclairage découpent la façade nord du nouveau stade, à la nuit tombante... Pour assurer la rentabilité de l'enceinte, la FFR table sur cinq à six rencontres annuelles du XV de France et l'organisation de la finale du Top 14. Mais pour atteindre son objectif, elle devra aussi fixer une dizaines d'autres évènements chaque année (concerts, matchs d'autres disciplines...). Elle envisage aussi de faire appel au "naming", c'est à dire de baptiser l'enceinte du nom d'un sponsor. C'est le cas de plusieurs stade récents (Allianz Riviera à Nice, Aviva Stadium à Dublin...). Cette pratique très courante en Amérique du Nord peine pour l'instant à générer des revenus substantiels en France. 
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