8. Le Pen au second tour de la présidentielle

Jean-Marie Le Pen, aidé par une abstention record, obtient 16,86 % le 21 avril 2002.  © Europarl

8,1 % des votes

On parle souvent du 21 avril 2002 comme d'un traumatisme. Vous avez été en tout cas 8,1 % à le confirmer. C'est la première fois dans l'histoire française qu'un candidat de l'extrême droite, condamné plusieurs fois pour apologie de crime de guerre, antisémitisme et provocations racistes, parvient à se qualifier au second tour d'une présidentielle. Derrière Jacques Chirac (19,88 %), Jean-Marie Le Pen, aidé par une abstention record, obtient 16,86 % des voix, subtilisant la seconde place à Lionel Jospin (16,18 %). L'ex-Premier ministre en tirera les conséquences en se "retirant de la vie politique". Après de nombreuses manifestations et notamment le rassemblement de 1,3 million de personnes le 1er mai dans les grandes villes de France, Jacques Chirac s'imposera finalement avec 82,21 % des voix.

8,1 % des votes On parle souvent du 21 avril 2002 comme d'un traumatisme. Vous avez été en tout cas 8,1 % à le confirmer. C'est la première fois dans l'histoire française qu'un candidat de l'extrême droite, condamné plusieurs fois pour apologie de crime de guerre, antisémitisme et provocations racistes, parvient à se qualifier au second tour d'une présidentielle. Derrière Jacques Chirac (19,88 %), Jean-Marie Le Pen, aidé par une abstention record, obtient 16,86 % des voix, subtilisant la seconde place à Lionel Jospin (16,18 %). L'ex-Premier ministre en tirera les conséquences en se "retirant de la vie politique". Après de nombreuses manifestations et notamment le rassemblement de 1,3 million de personnes le 1er mai dans les grandes villes de France, Jacques Chirac s'imposera finalement avec 82,21 % des voix.
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