Bienvenue chez les "habitants des profondeurs" !

De l'humus, et ses composants organiques issus de la décomposition de plantes et d'animaux morts. © Lee Reich / AP / SIPA
Les "habitants des profondeurs", comme les appelle l'auteur de l'ouvrage, vivent dans un monde obscur. Mais ils ont une parade pour survivre : l'humus produit par les êtres vivants du monde d'en haut.
"Toutefois, même en y regardant de près, vous ne verrez pas la plupart de ces hôtes importuns (à l'exception des géants comme l'aselle), du moins pas sans microscope. Sans lumière, ni yeux ni couleur n'ont de sens, c'est pourquoi les habitants des profondeurs sont typiquement aveugles et d'un blanc transparent. Le manque de lumière soulève cependant un autre problème : sans soleil, pas de photosynthèse, ni de plantes pour produire de la nourriture. Les peuples du sous-sol dépendent par conséquent des aumônes de la surface. Soit, en l'occurrence, de la biomasse d'origine animale et végétale qui, devenue humus, s'enfonce lentement dans les profondeurs à mesure que l'eau de pluie s'y infiltre".
Les "habitants des profondeurs", comme les appelle l'auteur de l'ouvrage, vivent dans un monde obscur. Mais ils ont une parade pour survivre : l'humus produit par les êtres vivants du monde d'en haut. "Toutefois, même en y regardant de près, vous ne verrez pas la plupart de ces hôtes importuns (à l'exception des géants comme l'aselle), du moins pas sans microscope. Sans lumière, ni yeux ni couleur n'ont de sens, c'est pourquoi les habitants des profondeurs sont typiquement aveugles et d'un blanc transparent. Le manque de lumière soulève cependant un autre problème : sans soleil, pas de photosynthèse, ni de plantes pour produire de la nourriture. Les peuples du sous-sol dépendent par conséquent des aumônes de la surface. Soit, en l'occurrence, de la biomasse d'origine animale et végétale qui, devenue humus, s'enfonce lentement dans les profondeurs à mesure que l'eau de pluie s'y infiltre".
© Lee Reich / AP / SIPA