Les conseils de l'ombre de Juan Branco

Juan Branco le 1er mai 2019 à Paris. © ISA HARSIN / SIPA
Interrogé par le JDD, l'ex-avocat de Maxime Nicolle, l'une des figures du mouvement des Gilets jaunes, assure que c'est bien en tant qu'avocat que Piotr Pavlenski l'a mis au courant, le 18 décembre dernier, d'une "nouvelle action artistique". Les deux hommes se seraient rencontrés pour la première fois ce jour-là, devenant proches. Le 28 janvier dernier, après une conférence de Juan Branco à la Sorbonne, Piotr Pavlenski lui aurait montré les vidéos. Juan Branco affirme avoir informé l'activiste russe sur les risques encourus à les publier, et que son rôle s'est limité à "vérifier tous les éléments pour être sûr que ces vidéos n'étaient pas fausses".
Cité dans l'affaire, l'avocat a été placé en garde à vue et dessaisi de la défense de Piotr Pavlenski par le parquet de Paris. "Il s'agit d'une atteinte aux droits de la défense inédite, gravissime", a-t-il réagi dans la presse.
Interrogé par le JDD, l'ex-avocat de Maxime Nicolle, l'une des figures du mouvement des Gilets jaunes, assure que c'est bien en tant qu'avocat que Piotr Pavlenski l'a mis au courant, le 18 décembre dernier, d'une "nouvelle action artistique". Les deux hommes se seraient rencontrés pour la première fois ce jour-là, devenant proches. Le 28 janvier dernier, après une conférence de Juan Branco à la Sorbonne, Piotr Pavlenski lui aurait montré les vidéos. Juan Branco affirme avoir informé l'activiste russe sur les risques encourus à les publier, et que son rôle s'est limité à "vérifier tous les éléments pour être sûr que ces vidéos n'étaient pas fausses". Cité dans l'affaire, l'avocat a été placé en garde à vue et dessaisi de la défense de Piotr Pavlenski par le parquet de Paris. "Il s'agit d'une atteinte aux droits de la défense inédite, gravissime", a-t-il réagi dans la presse.
© ISA HARSIN / SIPA