Pour lui, "la politique, c'est mystique"

Le 4 février 2017 en meeting à Lyon. © Pascal Fayolle / SIPA
Au JDD, dans un train pour Paris, Emmanuel Macron a lâché vendredi 10 février 2017 : "La politique, c'est mystique. (...) Mais je ne crois pas à la transcendance éthérée. (...) Je ne sépare pas Dieu du reste." Ses adversaires de campagne l'ont accusé d'être "un champignon hallucinogène" (Mélenchon), "un gourou" (Fillon). Lui dit avoir "toujours assumé la dimension de verticalité, de transcendance, mais en même temps elle doit s'ancrer dans de l'immanence complète, de la matérialité." S'il insiste ("Je ne cherche pas à être un prédicateur christique"), la sémantique de la religion imprègne quand même son discours. Et la campagne a été pour lui "un chemin de vie", a d'ailleurs confié l'un de ses proches au JDD.
Au JDD, dans un train pour Paris, Emmanuel Macron a lâché vendredi 10 février 2017 : "La politique, c'est mystique. (...) Mais je ne crois pas à la transcendance éthérée. (...) Je ne sépare pas Dieu du reste." Ses adversaires de campagne l'ont accusé d'être "un champignon hallucinogène" (Mélenchon), "un gourou" (Fillon). Lui dit avoir "toujours assumé la dimension de verticalité, de transcendance, mais en même temps elle doit s'ancrer dans de l'immanence complète, de la matérialité." S'il insiste ("Je ne cherche pas à être un prédicateur christique"), la sémantique de la religion imprègne quand même son discours. Et la campagne a été pour lui "un chemin de vie", a d'ailleurs confié l'un de ses proches au JDD.
© Pascal Fayolle / SIPA