Il a eu une éducation "très libre", mais...

Chez les Philippe, il était interdit d’abîmer les livres. © olegdudko / 123RF
Dans sa jeunesse normande, Edouard Philippe a reçu ce qu'il considère comme "une éducation très libre" a-t-il confié au Point. Et s'est souvenu : "Je suis né (...) dans une société très marquée par 68. Mes parents ne vérifiaient pas si je faisais mon boulot à l'école". Des parent tous deux professeurs de français, qui fixent surtout quelques règles "sacrées", détaillées dans le même article du Point : ne pas abîmer les livres, "le seul bien de luxe de la famille" selon Edouard Philippe ; ne pas critiquer les professeurs ; éviter de mentir. "Et il valait mieux avoir de bonnes notes à l'école. Mais une mauvaise note n'était pas synonyme de catastrophe et j'étais plutôt bon élève" complète le désormais Premier ministre.
Dans sa jeunesse normande, Edouard Philippe a reçu ce qu'il considère comme "une éducation très libre" a-t-il confié au Point. Et s'est souvenu : "Je suis né (...) dans une société très marquée par 68. Mes parents ne vérifiaient pas si je faisais mon boulot à l'école". Des parent tous deux professeurs de français, qui fixent surtout quelques règles "sacrées", détaillées dans le même article du Point : ne pas abîmer les livres, "le seul bien de luxe de la famille" selon Edouard Philippe ; ne pas critiquer les professeurs ; éviter de mentir. "Et il valait mieux avoir de bonnes notes à l'école. Mais une mauvaise note n'était pas synonyme de catastrophe et j'étais plutôt bon élève" complète le désormais Premier ministre.
© olegdudko / 123RF