Mars 2019 : auditionné par le Sénat

Christophe Castaner. © STEPHANE ALLAMAN / SIPA
Le 19 mars 2019, Christophe Castaner a reconnu face aux parlementaires du Palais du Luxembourg "des dysfonctionnements et un phénomène constaté de dépassement de la violence" au cours de l'acte 18 des gilets jaunes, quelques jours plus tôt. Des débordements ayant donné lieu au limogeage du préfet de la police de Paris pour cause de management défaillant, et laissé entrevoir une possible démission du ministre de l'Intérieur. Ce dernier a dû s'expliquer devant le Sénat. Il a toutefois tenu à assurer qu' "entre le 8 décembre et maintenant, nos forces de l'ordre ont agi de manière satisfaisante" et à rappeler que "l'ordre public a perdu des effectifs ces dernières années". Il s'est aussi dit "convaincu d'une chose : ceux qui ont manifesté samedi et qui ont cassé n'ont aucune revendication, si ce n'est celle de faire tomber la République".
Le 19 mars 2019, Christophe Castaner a reconnu face aux parlementaires du Palais du Luxembourg "des dysfonctionnements et un phénomène constaté de dépassement de la violence" au cours de l'acte 18 des gilets jaunes, quelques jours plus tôt. Des débordements ayant donné lieu au limogeage du préfet de la police de Paris pour cause de management défaillant, et laissé entrevoir une possible démission du ministre de l'Intérieur. Ce dernier a dû s'expliquer devant le Sénat. Il a toutefois tenu à assurer qu' "entre le 8 décembre et maintenant, nos forces de l'ordre ont agi de manière satisfaisante" et à rappeler que "l'ordre public a perdu des effectifs ces dernières années". Il s'est aussi dit "convaincu d'une chose : ceux qui ont manifesté samedi et qui ont cassé n'ont aucune revendication, si ce n'est celle de faire tomber la République".
© STEPHANE ALLAMAN / SIPA