Janvier 2018 : polémique sur son porte-parole (2/2)

Christophe Castaner à Paris, devant l'Elysée, le 16 octobre 2018. © ALAIN ROBERT / SIPA
Et Christophe Castaner, alors secrétaire d'Etat et délégué général d'En Marche, va ajouter de l'huile sur le feu selon RTL, défendant en privé son porte-parole en lui prêtant des "propos d'étudiant pour lesquels [Rayan Nezzar] s'est excusé" et "un parcours génial, rare en politique, du talent, et là son vocabulaire de jeune de Montreuil [qui] le rattrape". Il sera accusé par Alexis Corbière, député La France insoumise de Montreuil, de "mépris de classe", et le président du Conseil départemental de Seine-Saint-Denis Stéphane Troussel poussera ce coup de gueule à son encontre : "Dois-je qualifier Castaner de kéké de Forcalquier à chacun de ses dérapages ?". Cinq jours après sa nomination, Rayan Nezzar démissionne.
Et Christophe Castaner, alors secrétaire d'Etat et délégué général d'En Marche, va ajouter de l'huile sur le feu selon RTL, défendant en privé son porte-parole en lui prêtant des "propos d'étudiant pour lesquels [Rayan Nezzar] s'est excusé" et "un parcours génial, rare en politique, du talent, et là son vocabulaire de jeune de Montreuil [qui] le rattrape". Il sera accusé par Alexis Corbière, député La France insoumise de Montreuil, de "mépris de classe", et le président du Conseil départemental de Seine-Saint-Denis Stéphane Troussel poussera ce coup de gueule à son encontre : "Dois-je qualifier Castaner de kéké de Forcalquier à chacun de ses dérapages ?". Cinq jours après sa nomination, Rayan Nezzar démissionne.
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