Juillet 2018 : Benalla, un "simple bagagiste"

23 juillet 2018 à l'Assemblée nationale. © Laurence Geai / SIPA
Quand l'affaire Benalla éclate, en juillet 2018, l'exécutif est démuni face à la polémique. Une enquête parlementaire est ouverte, vidéo à l'appui montrant le collaborateur de l'Elysée frapper un manifestant le 1er mai. Cherchant à minimiser le rôle de l'homme, le secrétaire d'Etat Christophe Castaner explique sur Cnews qu'Alexandre Benalla n'a "plus de fonctions de sécurité", juste "des fonctions logistiques". Et déclare : "J'ai entendu l'Élysée dire qu'il était chargé des valises". D'après le Scan politique du Figaro, même le président aurait ironisé sur cette explication, affirmant que son ex-chargé de mission, "quoique bagagiste d'un jour, n'a jamais eu ces fonctions dans la durée". Face à la commission d'enquête du Sénat fin juillet, Christophe Castaner osera même un : "J'ai cherché à quel moment ce truc m'était venu mais je ne l'ai pas retrouvé".
Quand l'affaire Benalla éclate, en juillet 2018, l'exécutif est démuni face à la polémique. Une enquête parlementaire est ouverte, vidéo à l'appui montrant le collaborateur de l'Elysée frapper un manifestant le 1er mai. Cherchant à minimiser le rôle de l'homme, le secrétaire d'Etat Christophe Castaner explique sur Cnews qu'Alexandre Benalla n'a "plus de fonctions de sécurité", juste "des fonctions logistiques". Et déclare : "J'ai entendu l'Élysée dire qu'il était chargé des valises". D'après le Scan politique du Figaro, même le président aurait ironisé sur cette explication, affirmant que son ex-chargé de mission, "quoique bagagiste d'un jour, n'a jamais eu ces fonctions dans la durée". Face à la commission d'enquête du Sénat fin juillet, Christophe Castaner osera même un : "J'ai cherché à quel moment ce truc m'était venu mais je ne l'ai pas retrouvé".
© Laurence Geai / SIPA