Mai 2019 : l' "attaque" de la Pitié-Salpêtrière

Conférence de presse à Toulon le 3 mai 2019. © Jean Michel Nossant / SIPA
En marge des défilés du 1er mai 2019, une cinquantaine de manifestants s'est introduite dans la Pitié-Salpêtrière, un hôpital parisien, aux portes d'un service de réanimation. Dans la soirée, Christophe Castaner affirme qu'il s'agit d'une "attaque" de militants anticapitalistes d'ultragauche "black blocs", et souligne sur Twitter, qu' "on a agressé le personnel soignant". Des déclarations vite démenties par les faits, via des vidéos et témoignages relayés par plusieurs médias. Le 3 mai, le ministre de l'Intérieur rétropédale en conférence de presse : "Je n'aurais pas dû employer le terme 'attaque' ". Le personnel hospitalier présent lors de l'intrusion des manifestants parle lui auprès du Figaro d'un mouvement de panique n'ayant guère perturbé le service, et de manifestants dont aucun "n'avait le visage masqué ou cagoulé".
En marge des défilés du 1er mai 2019, une cinquantaine de manifestants s'est introduite dans la Pitié-Salpêtrière, un hôpital parisien, aux portes d'un service de réanimation. Dans la soirée, Christophe Castaner affirme qu'il s'agit d'une "attaque" de militants anticapitalistes d'ultragauche "black blocs", et souligne sur Twitter, qu' "on a agressé le personnel soignant". Des déclarations vite démenties par les faits, via des vidéos et témoignages relayés par plusieurs médias. Le 3 mai, le ministre de l'Intérieur rétropédale en conférence de presse : "Je n'aurais pas dû employer le terme 'attaque' ". Le personnel hospitalier présent lors de l'intrusion des manifestants parle lui auprès du Figaro d'un mouvement de panique n'ayant guère perturbé le service, et de manifestants dont aucun "n'avait le visage masqué ou cagoulé".
© Jean Michel Nossant / SIPA