Sa fille, "dictatoriale" et en "manque de confiance"

Marine Le Pen à l'Assemblée nationale le 17 septembre 2019. © Olivier Coret / SIPA
Sur sa fille Marine Le Pen, l'ex-dirigeant d'extrême droite se montre très critique. Il estime que celle qui lui a succédé à la tête du FN (devenu Rassemblement national) en 2011 "n'a pas confiance en elle. Cela explique ses fautes. Son côté dictatorial". Et si il lui concède "certaines qualités pour faire de la politique. Du cran, de l'allant, de la répartie", le cofondateur du Front national avoue dans "Tribun du peuple" qu'elle n'était "pas (son) choix" de départ pour lui succéder. Il estime d'ailleurs qu'elle "aurait pu gagner" la présidentielle 2017, avant de s'interroger : "Avec un bon débat et une catastrophe terroriste la semaine avant le scrutin, elle aurait peut-être pu gagner. Mais pour quoi faire ? Avec quel état-major ? (...) L'échec de Marine fut peut-être providentiel".
Sur sa fille Marine Le Pen, l'ex-dirigeant d'extrême droite se montre très critique. Il estime que celle qui lui a succédé à la tête du FN (devenu Rassemblement national) en 2011 "n'a pas confiance en elle. Cela explique ses fautes. Son côté dictatorial". Et si il lui concède "certaines qualités pour faire de la politique. Du cran, de l'allant, de la répartie", le cofondateur du Front national avoue dans "Tribun du peuple" qu'elle n'était "pas (son) choix" de départ pour lui succéder. Il estime d'ailleurs qu'elle "aurait pu gagner" la présidentielle 2017, avant de s'interroger : "Avec un bon débat et une catastrophe terroriste la semaine avant le scrutin, elle aurait peut-être pu gagner. Mais pour quoi faire ? Avec quel état-major ? (...) L'échec de Marine fut peut-être providentiel".
© Olivier Coret / SIPA