"Je suis devenu Robocop"

Jean-Marie Le Pen au palais de justice de Versailles le 11 décembre 2017. © Philippe LOPEZ / AFP
L'ancien patron du FN s'arrête aussi sur ses multiples soucis de santé, face auxquels il a développé des "artifices de survivance : œil de verre, hanches artificielles, pacemaker et que sais-je encore". Bref, "je suis devenu Robocop", ironise-t-il. Ses traitements antibiotiques le "fatiguent un peu" et le vieux loup de mer de la politique se déplace désormais toujours avec sa canne, à cause d'une constriction d'un nerf dans le secteur vertébral. Pas de quoi ébranler sa positive attitude : "Le bas ne marche pas très bien, le haut beaucoup mieux", relativise-t-il.
L'ancien patron du FN s'arrête aussi sur ses multiples soucis de santé, face auxquels il a développé des "artifices de survivance : œil de verre, hanches artificielles, pacemaker et que sais-je encore". Bref, "je suis devenu Robocop", ironise-t-il. Ses traitements antibiotiques le "fatiguent un peu" et le vieux loup de mer de la politique se déplace désormais toujours avec sa canne, à cause d'une constriction d'un nerf dans le secteur vertébral. Pas de quoi ébranler sa positive attitude : "Le bas ne marche pas très bien, le haut beaucoup mieux", relativise-t-il.
© Philippe LOPEZ / AFP