La précarisation des acteurs X

Les acteurs X sont moins payés, pour plus de scènes à tourner. © GEILERT / SIPA
Etre acteur ou actrice de porno ne veut plus dire la même chose qu'hier. "L'explosion du Web a diminué le système de starification des actrices et acteurs", expliquait Grégory Dorcel, directeur général de la marque Marc Dorcel à Programme-tv.net. La crise du payant se répercute chez les acteurs et actrices, victimes d'un dumping et d'une paupérisation grandissants. Ils/Elles ne sont plus payé(e)s "à la journée de tournage mais à l'acte sexuel", les actrices restant toutefois mieux payées que les acteurs (jusqu'à plus de 2 000 euros par scène quand un homme en touche environ 500). La majorité complète ses revenus par de l'escorting. Les budgets pour un film, hier évalués à environ 150 000 euros, ont été divisés par trois. Pour s'adapter, certaines plateformes payantes vendent de la vidéo de quelques minutes, moins chère à produire qu'un film X intégral, et plus facile à vendre.
Etre acteur ou actrice de porno ne veut plus dire la même chose qu'hier. "L'explosion du Web a diminué le système de starification des actrices et acteurs", expliquait Grégory Dorcel, directeur général de la marque Marc Dorcel à Programme-tv.net. La crise du payant se répercute chez les acteurs et actrices, victimes d'un dumping et d'une paupérisation grandissants. Ils/Elles ne sont plus payé(e)s "à la journée de tournage mais à l'acte sexuel", les actrices restant toutefois mieux payées que les acteurs (jusqu'à plus de 2 000 euros par scène quand un homme en touche environ 500). La majorité complète ses revenus par de l'escorting. Les budgets pour un film, hier évalués à environ 150 000 euros, ont été divisés par trois. Pour s'adapter, certaines plateformes payantes vendent de la vidéo de quelques minutes, moins chère à produire qu'un film X intégral, et plus facile à vendre.
© GEILERT / SIPA