Mort par cancer du poumon

Les victimes du cancer du poumon en 2030 devraient se rapprocher des 2 millions. © Puwadol Jaturawutthichai / 123RF
Le cancer du poumon a été le plus mortel des cancers à l'échelle mondiale ainsi qu'en France en 2015. Et devrait le rester : l'OMS prédit d'ici 2030 sur notre planète une augmentation de 24 % des décès entraînés par cette tumeur maligne se développant à partir des cellules du poumon. D'après les projections de l'Organisation mondiale de la santé, ce cancer du fumeur, lié à la cigarette dans 4 cas sur 5, figurera dans les cinq maladies les plus mortelles en Europe en 2030. La tumeur se forme habituellement chez des individus entrés dans la cinquantaine ou la soixantaine. Ces dernières années, les statistiques montrent un nombre de cas de cancers du poumon en baisse chez les hommes mais en constante progression chez les femmes depuis plusieurs décennies, pour qui il commence à peine à se stabiliser. Par ailleurs, les ouvriers en meurent trois fois plus que les cadres. En 2030, le cancer des poumons et son faible taux de survie d'environ 10 % à cinq ans, devraient faire environ 350 000 victimes de plus qu'en 2015.
Le cancer du poumon a été le plus mortel des cancers à l'échelle mondiale ainsi qu'en France en 2015. Et devrait le rester : l'OMS prédit d'ici 2030 sur notre planète une augmentation de 24 % des décès entraînés par cette tumeur maligne se développant à partir des cellules du poumon. D'après les projections de l'Organisation mondiale de la santé, ce cancer du fumeur, lié à la cigarette dans 4 cas sur 5, figurera dans les cinq maladies les plus mortelles en Europe en 2030. La tumeur se forme habituellement chez des individus entrés dans la cinquantaine ou la soixantaine. Ces dernières années, les statistiques montrent un nombre de cas de cancers du poumon en baisse chez les hommes mais en constante progression chez les femmes depuis plusieurs décennies, pour qui il commence à peine à se stabiliser. Par ailleurs, les ouvriers en meurent trois fois plus que les cadres. En 2030, le cancer des poumons et son faible taux de survie d'environ 10 % à cinq ans, devraient faire environ 350 000 victimes de plus qu'en 2015.
© Puwadol Jaturawutthichai / 123RF